Dans le cadre du Festival culturel sur les migrations, Migrant’scène 2008, organisé par la Cimade.
Une promesse de mariage comme promesse d’une régularisation, réalité d’un esclavage. Il n’est jamais trop tard pour étudier.
En tant que nounou, c’est dur, je fais le soutien scolaire, je suis l’infirmière, la femme de ménage, la deuxième maman…, je commence à 9h le matin, je finis à 20h, 20h30…
On est les invisibles de la société française.
J’avais une voix étouffée. Nous aussi, on donne à cette société. On veut que les autres écoutent notre voix.
Il y a beaucoup de femmes qui se cachent. Nous ne sommes pas des fantômes.